Le contrat d’engagement jeune (CEJ) : mode d’emploi

Le contrat d’engagement jeune (CEJ) : mode d’emploi

Le monde professionnel est aujourd’hui concurrentiel en France et décrocher un emploi durable n’est pas toujours évident. Heureusement, il existe des solutions pour faciliter l’entrée des jeunes dans la vie professionnelle !

Le contrat d’engagement jeune (CEJ) permet justement aux jeunes de bénéficier d’un accompagnement personnalisé, d’ateliers et d’une allocation tout en leur offrant la possibilité de se stabiliser sur le marché du travail.

Bien qu’intensif, ce programme s’inscrit dans la continuité du plan « 1 jeune, 1 solution » de juillet 2020 qui a permis à près de 4 millions de jeunes de trouver une solution : une formation, un emploi ou un parcours d’insertion…

Quels sont donc les objectifs concrets du CEJ ? Qui peut en bénéficier ? Comment se déroule-t-il ? Quels sont les droits et devoirs des bénéficiaires de ce contrat ? Votre Mission Locale DynamJeunes de Saint-Germain-En-Laye fait le point sur ce dispositif !

Visionnez notre vidéo pour tout savoir sur le CEJ.

 

Qu’est-ce que le CEJ concrètement ?

 

Le contrat d’engagement jeune est un dispositif mis en place par le gouvernement français et mis en œuvre par Pôle Emploi et les Missions Locales depuis le 1er mars 2022. Il a pour ambition d’amener 400 000 jeunes par an vers la formation ou l’emploi !

Son objectif est d’encourager l’insertion professionnelle des jeunes qui ont besoin d’un accompagnement pour trouver un emploi ou suivre une formation. Il facilite donc l’accès à un contrat de travail à durée indéterminée (CDI) dès leur sortie de formation.

Le CEJ est une alternative intéressante pour les jeunes qui ont du mal à trouver un emploi stable après leur formation. Il leur permet de démontrer leur motivation et leur capacité à s’insérer sur le marché du travail, ce qui facilite leur recherche d’emploi par la suite…

 

MISSION-LOCALE-Le contrat engagement jeune

 

 

Qui peut bénéficier du contrat d’engagement jeune ?

 

Le contrat d’engagement jeune s’adresse aux jeunes de 16 à 25 ans qui souhaitent s’engager activement dans un parcours vers l’emploi. Il est étendu aux jeunes de moins de 30 ans en situation de handicap.

Il faut également remplir les conditions suivantes :

  • Ne pas être étudiant
  • Ne pas suivre de formation
  • Éprouver des difficultés à trouver un emploi stable
  • Rencontrer des problèmes personnels ou matériels

Afin de bénéficier du CEJ, vous devrez faire preuve de motivation et d’assiduité. En effet, ce dispositif demande d’y consacrer du temps. Si vous êtes prêt à vous investir quotidiennement et à réaliser les tâches demandées, alors le CEJ est fait pour vous !

Pour cela, vous devrez vous rendre à votre centre Pôle emploi le plus proche, votre Mission Localeou sur le site 1jeune1solution.gouv.fr. Un conseiller vous proposera alors de réaliser un diagnostic afin de savoir si vous êtes éligible à ce dispositif.

Comment se passe le CEJ en pratique ?

 

Le contrat d’engagement jeune dure généralement de 6 à 12 mois mais peut être prolongé de 6 mois de manière exceptionnelle, pour une durée totale de 18 mois. Il se déroule en plusieurs étapes, une fois signé :

  1. Diagnostic initial approfondi: le but ici est de faire le point sur votre situation actuelle, vos besoins, ainsi que vos motivations, vos envies et vos compétences ;
  2. Programme intensif: ateliers à raison de 15 à 20 heures par semaine, composés d’activités individuelles, collectives ou en autonomie encadrée ;
  3. Entretiens réguliers: tout au long du CEJ, vous serez accompagné par un conseiller référent et avec qui vous aurez un suivi hebdomadaire et mensuel pour faire le point ;
  4. Fin du contrat: une fois que vous aurez trouvé un emploi, votre conseiller continuera de vous accompagner afin de sécuriser votre insertion dans l’entreprise.

Quelles sont les activités proposées ?

 

Les ateliers hebdomadaires vous seront proposés en fonction de votre profil et de vos objectifs. Ils mêlent théorie et mise en pratique sur le terrain pour vous préparer au mieux au monde du travail et vous aider à trouver votre voie professionnelle !

La partie théorique se compose de séances avec un tuteur et porte notamment sur :

  • La préparation d’une candidature et la recherche d’un emploi
  • Le développement personnel
  • La mise en valeur de vos compétences
  • Une période de formation qualifiante ou une préparation pour entrer en formation

La partie pratique quant à elle vous permet de valoriser vos acquis sur le terrain :

  • Une période de découverte en entreprise (immersion ou stage)
  • Une mission d’utilité publique (service civique ou service national universel)
  • Un accompagnement externe (service militaire ou école spécifique)
  • Une période d’emploi aidé (insertion, contrats aidés, CDD tremplin)

MISSION-LOCALE-Le contrat d'engagement jeune

 

Quels sont les droits accordés dans le cadre du CEJ ?

 

En tant que bénéficiaire du contrat d’engagement jeune, vous aurez accès à un certain nombre d’avantages. Voici quelques exemples de droits qui vous seront accordés :

  1. L’accès à une formation théorique et pratique avec la mise à disposition de toutes les solutions du plan « 1 jeune, 1 solution » afin de développer vos connaissances, compétences et confiance en vous ;
  2. Le droit à une allocation pouvant aller jusqu’à 520€ par mois pendant toute la durée du contrat (ACEJ). Elle dépend notamment de votre âge, vos ressources, votre statut fiscal et du respect de vos engagements – mais surtout de votre motivation puisqu’elle vous est versée si vous êtes actifs dans vos démarches. Elle est nette d’impôts et de cotisations sociales ;
  3. Un suivi régulier et personnalisé avec un conseiller référent qui vous accompagnera jusqu’à ce que vous décrochiez un emploi durable ;
  4. La mise à disposition d’une application mobile dédiée pour échanger au quotidien avec votre conseiller, suivre votre parcours, accéder plus facilement à des offres d’emploi, de stage, d’aides à l’hébergement ou mobilité, etc.

Quelles sont les obligations pour le bénéficiaire du CEJ ?

 

Si le contrat d’engagement jeune vous ouvre des droits, il entraîne également des devoirs. Le CEJ étant un dispositif officiel, votre admission est une décision administrative : sa signature est un engagement fait auprès de l’État !

Vous devrez donc faire preuve d’assiduité et suivre l’ensemble des formations, stages et activités proposés. Il vous faudra par ailleurs être présent aux entretiens hebdomadaires avec votre conseiller.

Toute absence non justifiée aux activités, non-respect des engagements du contrat ou refus injustifié d’accepter une offre d’emploi pourra entraîner une réduction de votre allocation, sa suspension, voire la rupture de votre contrat CEJ

Enfin, le contrat prendra obligatoirement fin lorsque vous aurez trouvé un emploi durable à savoir : un CDD de plus de 6 mois, un CDI, un contrat d’apprentissage ou de professionnalisation, une titularisation dans la fonction publique ou encore la création d’une entreprise. Il faudra attendre 6 mois afin de pouvoir signer un nouveau CEJ.

Comment bénéficier du contrat d’engagement jeune ?

 

Vous souhaitez vous engager pour votre avenir professionnel ? Vous avez envie de mettre toutes les chances de votre côté pour trouver un emploi durable ? Et vous êtes prêt à suivre un programme d’accompagnement ?

Le contrat d’engagement jeune est la solution pour vous permettre de vous lancer sereinement dans la vie active. Alliant formation théorique et période d’immersion en entreprise, ce dispositif complet favorise votre insertion dans le monde du travail.

Le CEJ a déjà fait ses preuves et a permis à de nombreux jeunes de trouver un emploi stable. En date du 23 septembre 2022 par exemple, ce sont plus de 178 000 jeunes qui ont rejoint ce dispositif d’après le Ministère du Travail !

Prenez contact avec votre Mission Locale de Saint-Germain-en-Laye pour en apprendre davantage sur ce programme et découvrir si vous y êtes éligible. DynamJeunes vous aidera alors à définir votre avenir professionnel par le biais du CEJ…

Conducteurs de véhicules au féminin

Conducteurs de véhicules au féminin

Conducteurs de véhicules au féminin

 

Il y a encore quelques années, le métier de chauffeur de véhicules était majoritairement masculin. Trains, taxis, bus, camions : il était alors peu commun de voir une femme prendre place aux commandes.

À l’instar d’autres secteurs, le milieu des transports a longtemps été victime d’idées reçues. Pourtant, ce métier a toujours été accessible à tous : hommes ou femmes, tout le monde peut manœuvrer un véhicule pour peu qu’une formation adaptée soit suivie…

Aujourd’hui, cette filière a évolué, les besoins ont changé et les mentalités aussi. Le secteur se féminise et il n’est pas rare de voir des femmes conduire toutes sortes de véhicules. Les opportunités pour la gent féminine ne cessent de grandir !

Mais pourquoi y a-t-il autant d’idées reçues pour les chauffeurs de transport ? Quelle est la place des femmes dans ce secteur ? Quels sont les postes accessibles aux profils féminins ? Votre Mission Locale DynamJeunes de Saint-Germain-En-Laye répond à toutes vos questions.

 

MISSION LOCALE Conducteurs de véhicules au féminin

 

Les idées reçues chez les chauffeurs de transport

 

La faible présence des femmes dans le secteur des transports est surtout due à des stéréotypes plutôt qu’à des facteurs de pénibilité ou à un manque d’engagement des entreprises. Les difficultés du métier présentées aux femmes sont bien souvent infondées et ont longtemps été un frein au recrutement.

Aujourd’hui, la nécessité d’avoir une bonne condition physique ne s’applique qu’à peu de postes et ne devrait en aucun cas être un obstacle à l’embauche. On trouve en effet des femmes dans d’autres secteurs exigeants physiquement, comme les métiers du bâtiment par exemple…

Autre idée reçue : il faut avoir de bonnes connaissances en mécanique pour être conducteur. De nos jours, les chauffeurs de transport n’ont plus à réparer eux-mêmes leur véhicule. Il existe du personnel formé pour cela comme les mécaniciens et les dépanneurs, ce qui remet en cause ce préjugé.

Enfin, le fait que les femmes ne peuvent partir loin de chez elles dans le cadre de leur emploi, constitue un a priori qui s’applique à d’autres métiers. Dans le commerce international, il faut souvent s’absenter pendant plusieurs jours, pourtant le secteur est très féminisé !

 

Conducteurs de véhicules

 

La place des femmes dans les métiers des transports

 

Pour accéder aux métiers des transports, les femmes doivent suivre le même cursus de formation que les hommes et faire appel au même savoir-faire : l’ensemble des postes de chauffeurs est donc accessible à tous.

De même, sur le terrain, leurs responsabilités sont identiques à celles des hommes. La conduite est à adapter selon la cargaison, le type de véhicule et les conditions climatiques : être conducteur ne dépend donc pas du genre de la personne !

De plus, tout comme les métiers de l’armée, le secteur routier est l’une des rares filières où l’égalité hommes femmes est respectée en termes de paie. En effet, le salaire est fonction des heures de conduites effectuées ou du kilométrage parcouru.

Pour terminer, il convient de rappeler que bien souvent, les femmes ont un style de conduite plus sécurisé et plus écologique. Féminiser la filière des transports ne peut donc qu’être profitable pour les entreprises !

 

Conduire des véhicules sans diplôme

 

Parmi tous les métiers ouverts aux femmes, citons d’abord le métier de chauffeur de bus, pour lequel aucun diplôme n’est requis. Votre mission consistera à transporter des passagers selon un itinéraire prédéfini, que ce soit pour des entreprises publiques ou privées. Si vous aimez échanger avec des personnes d’autres cultures, sachez que l’occasion se présentera régulièrement !

Vient ensuite la conductrice de métro, au sein de la RATP. Accessible sans diplôme, il s’agit d’un métier bien rémunéré où l’esprit d’équipe est important. Votre formation, théorique et pratique, sera assurée en interne. Christelle Degroote exerce cette profession depuis 2002, métier qu’elle apprécie particulièrement.

Mentionnons aussi le chauffeur de taxi : le permis B et un certificat de conducteur vous seront nécessaires. En-dehors du transport des personnes, il existe une dimension sociale forte dans ce métier car le contact avec le client est permanent. Si vous aimez échanger avec les autres, vous pourrez mettre à profit cette qualité qui sera ici un atout et pourra être intéressant !

Enfin, n’oublions pas la conductrice de voiture particulière (VTC). Berline, limousine, mini-van : en possession d’une carte professionnelle, vous pourrez être amenée à assurer les déplacements de particuliers, personnalités ou personnel d’entreprises. Ce métier exigeant vous demandera une grande flexibilité horaire et une tenue irréprochable, qui seront largement récompensées par une rémunération très attractive…

 

Les métiers de conductrice accessibles avec un diplôme

 

Titulaire d’un CAP ou titre professionnel et d’un permis C, le chauffeur routier se charge de la conduite, du contrôle des documents, de suivre le chargement et déchargement des marchandises, et est en contact régulier avec le client. Métier très diversifié, si vous aimez le voyage, en France ou à l’étranger et l’autonomie, ce poste est fait pour vous !

Si votre emploi du temps est (très) flexible, nous vous conseillons alors de devenir conductrice de train. Vous aurez besoin à minima d’un CAP pour exercer ce métier. Le plus grand recruteur en France étant la SNCF, les avantages sont particulièrement intéressants. Vous commencerez par les trains de marchandises dans un premier temps.

Toujours dans le domaine ferroviaire, le poste de conductrice de ligne (train de passagers) vous sera ouvert après quelques années d’expérience sur train de marchandises. Vous pourrez enfin évoluer en tant que conductrice de ligne principale (TGV). Si le contact humain vous plait, ce métier très bien rétribué vous conviendra parfaitement…

Pour terminer cette liste, évoquons l’ambulancière. Après un CAP voire un Bac, vous préparerez votre diplôme d’État via une formation spécifique. Si les métiers de la santé vous fascinent et si vous aimez le contact humain, cette profession vous conviendra parfaitement. Céline Pimentel nous explique les atouts de ce métier exigeant mais enrichissant !

 

Évolution des mentalités et féminisation du secteur

 

Aujourd’hui, les entreprises n’hésitent plus à recruter des femmes et ont su leur donner envie de se positionner sur des postes de conducteur : promotion de la mixité du métier, égalité des salaires, équilibre entre vie professionnelle et privée, formations régulières…

De plus, de nombreuses améliorations ont été apportées pour simplifier les tâches liées au port de charges, renforcer la sécurité au travail et mécaniser certains procédés. Mais aussi pour écourter les périodes de déplacement : grâce aux relais et aux réseaux, la plupart des conducteurs rentrent chez eux tous les soirs !

Le niveau de confort et de sécurité des moyens de transport a lui aussi été revu : habitacles mieux insonorisés et isolés thermiquement, cabines hautement sécurisées et reliées aux équipes en agence, facilité de navigation grâce aux outils GPS, aménagement intérieur agréable…

Enfin, les mentalités dans ce secteur ont bien évolué également : vous n’éprouverez pas de difficulté à vous intégrer. Les questions de mixité et de diversité sont au cœur des préoccupations des entreprises et tous les salariés, hommes ou femmes, sont bien accompagnés.

 

Comment devenir conductrice de véhicules ?

 

Le monde des transports vous fascine ? L’idée d’être la seule maître à bord vous plait ? Vous aimez les responsabilités et l’autonomie ? Alors formez-vous au métier de conductrice de véhicules et découvrez un secteur passionnant et diversifié !

Être conductrice de véhicules est aujourd’hui tout à fait possible pour les femmes et n’est plus associé à autant de préjugés qu’auparavant. Le secteur évolue rapidement et de plus en plus de femmes rejoignent l’aventure.

Conductrice de trains, de métros, de taxis, de poids lourds… si vous aimez conduire mais que vous ne savez pas encore vers quelle branche vous diriger, vous pouvez réaliser un bilan de compétences afin d’affiner vos choix et être sûre de trouver le métier qui vous correspond.

DynamJeunes vous accompagne dans la réalisation de vos objectifs professionnels. Contactez votre conseiller de la Mission Locale et obtenez toutes les réponses à vos questions, des conseils, des astuces et bien plus encore…

Les métiers des espaces verts au féminin

Les métiers des espaces verts au féminin

Les métiers des espaces verts au féminin

 

Il y a encore 10 ans, les métiers des espaces verts étaient encore très masculinisés. Les professions du paysage et de l’environnement ne comptaient quasiment pas de femmes dans leurs rangs. En cause ? Des stéréotypes particulièrement bien ancrés !

Tâches physiques, expositions aux intempéries, déplacements fréquents et environnement bruyant :  à l’instar des métiers du bâtiment, le secteur des espaces verts a longtemps souffert d’une mauvaise image, notamment chez la gent féminine.

Il s’agit pourtant d’une filière en plein essor avec un avenir prometteur. Changement des mentalités, amélioration des conditions de travail, recrutements plus nombreux : le secteur se féminise de jour en jour…

Mais pourquoi le secteur est-il davantage associé à une image masculine ? Quels sont les métiers des espaces verts qui emploient le plus de femmes ? Comment se féminise la filière aujourd’hui ? Votre Mission Locale DynamJeunesde Saint-Germain-En-Laye vous dit tout !

 

MISSION-LOCALE-Les métiers des espaces verts au féminin

 

 

Des préjugés liés aux métiers du paysage qui s’effacent peu à peu

 

Certains métiers des espaces verts requièrent une bonne condition physique qui a parfois une importance sur les chantiers. C’est notamment le cas des projets de création paysagère où le port de charges est plus fréquent qu’en travaux d’entretien.

La profession est ainsi majoritairement masculine : malgré une évolution des mœurs et des préjugés qui tendent à disparaître, les femmes éprouvent encore quelques difficultés à se faire embaucher ou à se faire accepter, en particulier sur le terrain.

Elles occupent donc bien souvent les fonctions support d’une entreprise paysagère : communication, ressources humaines, logistique, comptabilité, conception en bureau d’études, etc. Mais elles sont encore assez peu présentes sur les chantiers, même si la tendance est à l’amélioration…

Pour pallier ce déséquilibre, la formation aux techniques du métier et des connaissances adaptées sont une solution pour intégrer une équipe et lisser les différences. Mais aussi la motivation, déterminante pour convaincre les recruteurs. Carce milieu est loin d’être fermé aux femmes !

 

Atouts d’être une femme dans le secteur des espaces verts

 

Au caractère plus posé, la personnalité des femmes apporte un vrai plus aux équipes masculines : une présence féminine permet d’améliorer les rapports verbaux et d’adoucir les mœurs. Certains chefs d’équipe reconnaissent même que la gestion des rapports devient plus souple.

De même, leur façon de travailler et de voir les choses diffère de celle des hommes. Création paysagère ou entretien des extérieurs, elles vont amener des perspectives nouvelles, agencer les espaces autrement, être plus sensibles à l’harmonie des couleurs ou choix des végétaux…

Dans certains métiers, on cherche d’ailleurs à recruter en priorité les femmes : c’est le cas notamment des jardins historiques, potagers et aromatiques où une finesse d’exécution et un sens artistique sont davantage souhaités.

Cette diversité est complémentaire et va apporter une vision globale du projet plus intéressante. Approche différente des chantiers, questionnement plus fréquent, sensibilité féminine : in fine, c’est toute l’entreprise qui bénéficie de cette mixité !

 

Quelles sont les opportunités possibles sans Bac dans le monde du paysage ?

 

Secteur d’avenir, certains métiers des espaces verts sont déjà largement ouverts aux femmes et recrutent sans Bac. Il s’agit de métiers de terrain qui nécessitent à minima un CAP jardinier-paysagiste ou un Brevet Professionnel/ BPA en aménagement paysager…

Parmi eux, on retrouve le jardinier paysagiste en création. Il s’agit d’un métier d’extérieur qui consiste à concevoir et à créer un jardin à partir de plans. C’est un métier assez physique mais qui demande de la créativité et un sens de l’harmonie, des qualités plutôt féminines.

Le métier de jardinier paysagiste en entretien quant à lui requiert minutie et anticipation. Aide à la croissance des plantes, désherbage, tonte, taille et nettoyage : profession où la finesse est de rigueur, les femmes y sont très appréciées !

Vient ensuite la spécialiste en maçonnerie paysagère. Murs, abris, chemins, escaliers, bordures, bassins : elle sublime les espaces verts au quotidien. Il s’agit d’un métier créatif où habileté, délicatesse et polyvalence sont essentielles. Métier manuel avant tout, de plus en plus de femmes s’y consacrent comme Édith Vigné qui était enseignante auparavant.

Enfin, l’élagueuse taille ou abat les arbres avec technicité, dextérité, réflexion et respect de consignes de sécurité strictes. Ce métier est accessible aux femmes comme le démontre Alicia, qui était infirmière et s’est reconvertie en arboriste-grimpeuse !

 

MISSION-LOCALE-Les métiers des espaces verts au féminin

 

Quels sont les métiers des espaces verts qui recrutent avec un Bac ?

 

D’autres professions, moins physiques, demandent en revanche un Bac pro, un BTSA (Bac+2) ou une licence professionnelle (Bac+3) voire un diplôme d’ingénieur (Bac+5) en aménagement paysager, parfois avec des spécialisations…

En premier lieu, on trouve la paysagiste d’intérieur : fibre artistique, discrétion et rigueur font partie intégrante de ce métier. Vous réaliserez les décors végétalisés de tous types de bâtiments, maisons et locaux et gérerez leur entretien.

Vient ensuite la cheffe d’équipe ou de chantier qui encadre le personnel. Elle s’assure de la bonne exécution des plans, organise les tâches au quotidien, veille à la sécurité de ses collaborateurs. Un sens de l’organisation et un goût pour le management vous permettront de gagner le respect de vos équipes !

La conductrice de travaux paysagers quant à elle, est chargée d’organiser, conduire et contrôler plusieurs chantiers de création ou d’entretien paysager. Budget, délais, fournisseurs, clients : elle gère tous les aspects administratifs du projet. De solides connaissances et un esprit fédérateur vous seront nécessaires.

Pour finir, la chargée d’affaires du paysage maîtrise aussi bien les aspects création et entretien des jardins que les techniques de vente. Elle prospecte, effectue les relevés sur site et réalise les chiffrages des chantiers. Rigueur et aisance relationnelle sont au cœur de ce métier, un choix pertinent pour les femmes !

 

Vers une féminisation rapide du secteur

 

Depuis quelques années, on observe une nette amélioration des conditions de travail dans le secteur des espaces verts : outils plus ergonomiques, machines moins lourdes, engins autoportés, tâches plus adaptées à l’Homme et moins contraignantes. Le travail est devenu bien plus facile qu’auparavant.

Les besoins du secteur ont aussi bien évolué et la demande est croissante. Que ce soit à la campagne ou en zone urbaine, les parcs et jardins sont devenus omniprésents. Les hommes seuls ne suffisent plus à combler l’offre et les postes sont aujourd’hui ouverts à tous !

Il s’agit également de la volonté des institutions publiques de promouvoir la mixité. Les entreprises du paysage souhaitent quant à elles renouveler leurs équipes, en quête de valorisation de leur image de marque et de complémentarité des compétences.

Enfin, l’évolution des mentalités et l’adaptation des structures d’accueil mènent à une plus grande attractivité du secteur pour les femmes. Résultats ? Peu nombreuses hier, elles occupent aujourd’hui 20% des postes ! Qu’en sera-t-il demain ?

 

Comment se former aux métiers des espaces verts ?

 

Le travail au contact de la nature vous plaît ? Vous souhaitez participer à des projets diversifiés, humainement riches et passionnants ? Vous avez envie de rejoindre un secteur en constante évolution ? Alors les métiers du paysage sont faits pour vous !

Que ce soit dans la création ou l’entretien paysager, le secteur des espaces verts se féminise énormément et les opportunités augmentent. En tant que femme, votre personnalité et approche du travail seront un véritable atout dans ce milieu encore trop masculin…

Alors, si le jardinage et le paysagisme vous attirent et que vous souhaitez être accompagnée dans le choix de votre futur métier, DynamJeunes vous aide à décrocher le diplôme, la formation en alternance ou le contrat d’apprentissage qui vous correspond.

Prenez contact dès à présent avec votre Mission Locale à Saint-Germain-En-Laye : votre conseiller saura répondre à vos questions et vous orienter au mieux dans votre projet professionnel !

Comment s’inscrire auprès de la Mission Locale ?

Comment s’inscrire auprès de la Mission Locale ?

Comment s’inscrire auprès de la Mission Locale ?

 

Chaque année, 1,1 million de jeunes sont accompagnés par leur Mission Locale. Bien plus qu’une simple aide, c’est un véritable guide de l’emploi proposé dans toute la France. Les objectifs des Missions Locales peuvent varier, de même que leurs missions en fonction des personnes inscrites.

Dans tous les cas, les Missions Locales ont une finalité bien précise : vous aider à concrétiser votre avenir professionnel.

En vous inscrivant dans la Mission Locale la plus proche de chez vous, vous commencez un chemin guidé vers un nouvel emploi, une formation ou un parcours d’insertion.

Mais encore faut-il s’inscrire ! D’ailleurs, quelle est la démarche pour s’inscrire dans une Mission Locale ? DynamJeunes, votre Mission Locale à Saint-Germain-en-Laye, vous explique tout.

 

Comment se déroule l’inscription dans votre Mission Locale à Saint-Germain-en-Laye ?

 

L’objectif de la Mission Locale est assez simple : permettre aux personnes âgées de 16 à 25 ans de faire leurs premiers pas dans la vie active. Que ce soit par l’accès à des formations, à des ateliers ou à des accompagnements pour mettre au point un CV, votre conseiller vous propose toutes les solutions applicables à votre situation.

Les Missions Locales reposent sur un réseau entier d’entreprises et de partenaires, répartis sur l’ensemble du territoire français. L’avantage des Missions Locales, c’est que vous n’avez aucun pré-requis à remplir : il suffit d’avoir entre 16 et 25 ans.

 

Inscription Mission Locale Yveline (78) | Comment s’inscrire ?

 

Emploi, logement, santé… Si vous rencontrez des problèmes dans ces domaines, votre Mission Locale peut vous aider ! L’inscription dans une Mission Locale est très simple, puisqu’il suffit d’appeler pour prendre un rendez-vous.

Vous remplissez ensuite un formulaire, avant de rencontrer un conseiller. C’est là que votre projet professionnel peut commencer !

Mais que peut faire votre Mission Locale pour vous aider ?

 

Inscription Mission Locale Yveline (78) | Comment s’inscrire ?

 

Obtenir une convention de stage grâce à votre Mission Locale

 

Tout d’abord, la Mission Locale peut vous aider à obtenir une convention de stage. En effet, il n’est pas toujours simple de trouver un stage. Et lorsque vous l’avez trouvé, encore faut-il pouvoir l’officialiser ! Le seul bémol étant que faire signer une convention de stage n’est pas facile. Surtout si vous n’êtes pas scolarisé : vous n’avez pas d’intermédiaire qui peut s’engager à signer la convention.

Alors, comment procéder ?

Vous pouvez tout simplement vous inscrire à la Mission Locale la plus proche de chez vous ! Si vous avez moins de 26 ans et que vous n’êtes pas scolarisé, nous vous proposons un accompagnement gratuit pour obtenir une convention de stage.

La convention en question peut aller de 1 jour à 1 mois, en fonction de vos besoins. Elle peut même être renouvelable selon la situation. Vous avez également la possibilité de faire plusieurs stages, dans des entreprises différentes : la Mission Locale vous accompagne à toutes les étapes de votre projet professionnel !

 

Découvrir le monde professionnel grâce à la Mission Locale

 

Vous n’avez pas envie de faire de stage, mais plutôt de découvrir la vie active de l’intérieur ? Là aussi, la Mission Locale peut être d’une grande aide.

En effet, comme nous l’avons dit plus haut, les Mission Locales appartiennent à un grand réseau de partenaires et d’entreprises dans toute la France. Ce qui signifie que certaines entreprises sont engagées auprès de nous pour parrainer les jeunes en recherche d’emploi ou de formation.

Le parrainage des jeunes peut être fait de différentes manières.

 

L’immersion professionnelle

 

Les entreprises peuvent accepter les jeunes de la Mission Locale en stage, grâce à une convention de stage signée par nos soins. Les stages peuvent également prendre la forme d’une Période de Mise en Situation en Milieu Professionnel, aussi appelée PMSMP. Il s’agit d’un stage d’observation, pendant lequel vous êtes dans une entreprise, comme un employé. Vous pouvez alors analyser la réalité du terrain, et le fonctionnement de l’entreprise depuis l’intérieur.

Ces possibilités vous permettent de confirmer votre projet professionnel. Vous avez envie de vous orienter dans la boulangerie, mais vous ne savez pas si ça va vous plaire ? Vous ne connaissez pas bien le monde du commerce, mais pensez en faire votre carrière ?

Toutes ces questions peuvent être solutionnées par une immersion professionnelle, d’une durée maximum de 1 mois.

C’est une excellente alternative pour avoir une vision d’ensemble de la réalité dans un domaine en particulier, sans pour autant vous engager sur le long terme. En outre, ce n’est pas considéré comme du travail : vous pouvez donc conserver vos aides comme les allocations Pôle Emploi pendant la durée de votre immersion.

Le recrutement

 

Les entreprises partenaires de la Mission Locale DynamJeunes à Saint-Germain-en-Laye peuvent également communiquer des offres d’emploi. En effet, ce sont des entreprises qui, par le biais de parrainages, s’engagent à proposer les offres aux Missions Locales.

Un peu comme une situation de mise en relation professionnelle, votre conseiller peut alors trouver une offre qui correspond à votre profil, et vous la proposer.

Une fois votre dossier transmis à l’entreprise partenaire, vous pourrez demander un entretien d’embauche. Une rencontre qui peut alors déboucher sur un emploi, si c’est ce que vous recherchez en vous inscrivant à la Mission Locale !

 

Trouver un emploi grâce à la Mission Locale

 

L’hypothèse précédente concerne la situation dans laquelle vous êtes en recherche active d’emploi. Toutefois, vous n’êtes pas sans savoir que toute recherche d’emploi commence par la rédaction d’une lettre de motivation et la création d’un CV.

Êtes-vous à jour dans ce domaine ?

Ou avez-vous du mal à vous lancer ?

Si vous ne savez pas quelles informations mettre dans votre CV ou vous vous interrogez sur le protocole de rédaction d’une lettre de motivation, renseignez-vous auprès de la Mission Locale !

Par le biais d’un accompagnement personnalisé ou d’ateliers ciblés, votre conseiller ou conseillère de la Mission Locale peut vous proposer de nombreux services à l’emploi. Ce sont des conseils et apprentissages qui vous permettent de mettre le pied à l’étrier.

Pensés pour les professionnels et par les professionnels, ces conseils sont des astuces concrètes qui fonctionnent dans le monde du travail. L’avantage étant que vous profitez d’un accompagnement réel : votre conseiller ou conseillère est pleinement impliqué(e) dans votre projet professionnel.

La Mission Locale, c’est le regroupement de toutes les réponses pour vous lancer dans la vie active !

Inscription Mission Locale Yveline (78) | Comment s’inscrire ?

 

Suffit-il simplement de s’inscrire à la Mission Locale ?

 

L’inscription à la Mission Locale est simple : un formulaire, une rencontre avec un conseiller, et votre projet professionnel peut commencer son chemin.

Toutefois, pour que l’accompagnement de la Mission Locale fonctionne réellement, vous avez besoin d’autre chose : de votre motivation.

En effet, rien ne pourra se faire sans votre concours et votre implication. Il est indispensable que vous soyez vous-même déterminé. Si vous vous présentez souvent à la Mission Locale et que vous faites avancer votre projet professionnel en compagnie de votre conseiller, ce dernier pourra vous aider à progresser et vous donner des orientations en fonction des dernières offres.

Si ce n’est pas le cas, votre conseiller ne peut pas faire le travail pour vous : votre projet professionnel vous appartient pleinement.

En plus de vous inscrire, il est donc indispensable que vous gériez votre projet de manière rigoureuse et motivée : trouver un emploi nécessite toujours du temps et de l’énergie.

 

Rendez-vous chez DynamJeunes, votre Mission Locale à Saint-Germain-en-Laye

 

Pour vous aider à mener à bien votre projet, DynamJeunes vous accueille au sein de sa Mission Locale à Saint-Germain-en-Laye ! Vous bénéficiez de l’aide d’un conseiller ou d’une conseillère impliqué(e) dans votre projet professionnel.

Réseau de partenaires, conventions de stage et services à l’emploi : profitez d’un accompagnement personnalisé pour concrétiser vos envies professionnelles avec DynamJeunes.

 

Inscription Mission Locale Yveline (78) | Comment s’inscrire ?

Les métiers d’avenir pour travailler dans les espaces verts

Les métiers d’avenir pour travailler dans les espaces verts

Au service des particuliers, des collectivités territoriales et des groupements publics…  Les professionnels des espaces verts disposent de tout un panel de clients divers et variés. Et il en va de même pour les missions : chaque mission d’aménagement ou d’entretien des espaces verts est unique.

Pourtant, malgré le manque de monotonie, c’est un secteur dans lequel les entreprises ont du mal à recruter. Il y a donc de nombreuses offres d’emploi ouvertes sur le marché.

Vous êtes intéressé par ce secteur ? C’est tout à fait compréhensible : travailler pour créer et embellir des espaces verts est un vrai plaisir.  Mais quels sont les métiers de ce secteur d’activité ? Et quelles formations suivre pour vous professionnaliser ?

DynamJeunes, votre Mission Locale à Saint-Germain-en-Laye, vous donne toutes les informations concernant ces métiers.

 

Tout savoir sur les métiers des espaces verts et leurs formations

 

C’est un fait : les entreprises sont « bookées » sur des mois, et ne trouvent pas de personnel qualifié pour les épauler. C’est donc un secteur d’avenir qui recrute de plus en plus.

Secteur qui offre de nombreuses possibilités, tant du point de vue de la formation que du point de vue de l’expérience professionnelle.

En effet, les métiers de l’espace vert ont la particularité d’éviter les lassitudes, en créant et en aménageant chaque jour de nouveaux jardins.

 

Bien plus que de simples professionnels qui plantent des arbres et fleurs, les experts jardiniers / paysagistes sont force de proposition pour tous les aménagements extérieurs. Concernant l’organisation du jardin, le choix des plantes en fonction du secteur géographique les solutions écologiques d’entretien…

Sans oublier que c’est un secteur chaleureux, qui vous permet de rester en contact constant avec la nature. Hors de question de passer vos journées assis derrière un bureau !

Avec le challenge intellectuel de l’aménagement naturel, un contact avec l’extérieur et le choix de missions variées, les métiers des espaces verts offrent de nombreuses perspectives en matière d’épanouissement professionnel et d’opportunités d’évolution.

Si vous vous demandez vers quels métiers des espaces verts vous tourner, voici la réponse ! DynamJeunes vous présente une sélection des métiers qui recrutent le plus.

 

Les 4 métiers d’avenir dans le secteur de l’espace vert

 

Les espaces verts sont un secteur d’activité divers et varié. Recrutant du personnel qualifié, c’est un domaine particulièrement attractif pour certains postes. Chaque métier a des avantages et des inconvénients, comme dans tout secteur.

 

Le chef de chantier

Le premier poste que vous pouvez occuper si vous travaillez dans le domaine des espaces verts, c’est celui de chef de chantier. Aussi appelé chef d’équipe, il joue un rôle d’encadrant pour une ou plusieurs équipes sur les chantiers. Il supervise, donne des consignes et répartit le travail. C’est donc le professionnel qui connaît tous les tenants et aboutissants de chaque mission, et qui est chargé de faire en sorte qu’elle se déroule bien.

Respect des règles de sécurité, bon état du matériel, rangement à la fin de la mission… Il connaît également la nature du terrain et sait répondre aux contraintes pour atteindre l’objectif fixé. Sur les gros chantiers, il peut également travailler en collaboration avec le conducteur de travaux qui s’occupe de l’ensemble du projet.

Bien plus qu’un meneur d’homme, le chef de chantier participe aussi aux travaux. Préparation des sols et semis, entretien et plantations… Il met la main à la pâte aux côtés de son équipe. Opérationnel et encadrant, c’est un poste manuel et intellectuel à la fois.

 

Le conducteur de travaux paysagers

 

Le conducteur de travaux paysagers tient lui aussi un rôle de superviseur. Il s’occupe d’organiser, de conduire et de contrôler plusieurs chantiers. Ces chantiers peuvent être de création ou d’entretien des espaces verts, en fonction des demandes formulées par les clients. Il travaille en collaboration avec le chef d’équipe, et est en général l’interlocuteur intermédiaire entre les différents professionnels concernés par un chantier.

C’est notamment le conducteur de travaux qui définit et répartit les ressources humaines et matérielles nécessaires. Il peut également se placer en force de proposition en ce qui concerne l’implantation végétale et la création de surfaces.

C’est un interlocuteur privilégié qui peut être amené à se déplacer entre plusieurs chantiers pour en assurer la bonne coordination.

 

Le paysagiste en création ou en entretien

 

Métier plus manuel et créatif, le paysagiste est une casquette qui regroupe beaucoup de choses. De manière générale, c’est vers le jardinier paysagiste que l’on se tourne pour la réalisation concrète des travaux d’aménagement. Que ce soit dans des parcs publics ou dans des jardins privés, cet expert paysagiste connaît les parfaitement les espaces végétalisés. Il sait faire les meilleurs choix pour que les plantations restent les plus belles possible sur le long terme.

Il plante des fleurs, arbres, pelouses, réalise des semis, s’occupe de retourner la terre… Mais le jardinier paysagiste de création peut également être amené à faire des terrasses, des allées et murets : tous les ensembles qui habillent un aménagement extérieur, privé ou public.

Sa connaissance du terrain et des végétaux en fait un professionnel de très bon conseil, pour tous les projets d’aménagement extérieur. Le paysagiste peut être de création ou d’entretien, en fonction de sa formation.

 

L’élagueur

 

En ce qui concerne l’élagueur, il a suivi une formation particulière. Il peut s’occuper d’élaguer les branches des arbres en hauteur, ou tout simplement de tailler les haies et thuyas dans les jardins. C’est un professionnel qui prend à cœur la beauté et le bien-être des espaces verts. Il garantit en outre la création de passages sur les sentiers, pour le confort des usagers.

L’élagueur est équipé d’un matériel particulier, qui assure sa propre sécurité. Notamment dans le cadre des élagages en hauteur, au cours desquels il doit être attaché sur une nacelle ou à l’aide de cordes.

L’élagueur travaille toujours en équipe.

 

Comment travailler dans les métiers de l’espace vert ?

 

Comme de nombreux secteurs spécialisés, les espaces verts nécessitent une formation. L’avantage ultime de ce domaine, c’est que vous pouvez choisir une formation en cohérence avec vos objectifs professionnels.

Pour devenir paysagiste, vous pouvez par exemple passer un CAP de jardinier-paysagiste ou un BP d’aménagements paysagers. Vous pouvez par la suite choisir de faire un BTSA aménagements paysagers, et de poursuivre vos études pour vous spécialiser dans une branche particulière de l’aménagement paysagiste.

Le conducteur de travaux, quant à lui, doit passer un BEPA travaux paysagers ou un Bac Pro aménagements paysagers, et peut poursuivre ses études pour une spécialisation.

Dans tous les cas, ce sont des formations qui sont accessibles directement après le collège, ou avec un niveau baccalauréat.

 

Les formations pour se spécialiser dans les espaces verts

 

Vous souhaitez vous lancer dans l’aménagement des espaces verts ? Vous avez besoin d’une formation pour occuper le poste qui vous fait envie ? DynamJeunes vous aide à faire les bons choix ! Prenez rendez-vous avec votre conseiller de la Mission Locale à Saint-Germain-en-Laye, et optez pour une formation qui correspond à vos besoins et à vos envies.

Montez un dossier, choisissez la formation requise pour travailler dans les espaces verts, et trouvez une entreprise formatrice avec l’aide de DynamJeunes.

 

Les 5 métiers d’avenir dans le secteur de la petite enfance

Les 5 métiers d’avenir dans le secteur de la petite enfance

Certains métiers seront toujours indispensables, peu importe les crises et les problématiques mondiales. C’est par exemple le cas des métiers qui concernent le secteur de la petite enfance. S’occuper des enfants la journée, les aider à s’éveiller, les éduquer, les mettre en contact avec des petits de leur âge… La petite enfance est un pilier de la société.

Un secteur qui recrute de nombreux professionnels, mais qui semble faire face à une pénurie de personnel formé.

Patience, pédagogie, créativité… Les 87 000 salariés qui travaillent déjà dans le domaine de la petite enfance ont de nombreuses qualités. S’occuper d’enfants de moins de 3 ans peut être un véritable challenge !

Si ce secteur vous intéresse, sachez que c’est un domaine porteur en matière de recrutement. Et ce, malgré la baisse de la natalité en France. Votre Mission Locale DynamJeunes à Saint-Germain-en-Laye vous explique tout sur le domaine de la petite enfance.

 

Tout savoir sur la petite enfance et les formations

 

Le secteur de la petite enfance, c’est plus de 3 000 infrastructures qui gèrent des enfants de moins de 6 ans. Ce sont également de nombreux professionnels qui s’impliquent avec passion dans l’éducation des petits, et qui font preuve de toujours plus d’originalité pour les aider à s’éveiller. La petite enfance, c’est aussi les crèches et les établissements d’accueil des jeunes enfants, qui ont du mal à recruter des personnes qualifiées. Dans beaucoup de structures, on observe une pénurie de professionnels.

 

En conséquence de ce manque de personnel, l’État ouvre de nombreux postes et facilite l’accès aux formations et concours du secteur de la petite enfance.

Autrement dit : c’est un secteur qui recrute beaucoup ! Une occasion en or si vous aimez travailler avec les enfants, et que vous souhaitez participer à leur éducation. Et si vous aussi, vous faisiez partie des 2 200 professionnels qui vont être formés à la petite enfance au cours de l’année prochaine ?

Avec DynamJeunes, faites le point sur les métiers de la petite enfance et les formations.

 

5 métiers d’avenir dans le secteur de la petite enfance

 

Si vous souhaitez vous lancer dans les métiers de la petite enfance, vers quels métiers pouvez-vous vous tourner ? Ce domaine peut être divisé en 4 grandes branches :

  • L’animation
  • L’éducation
  • La santé
  • Le social

Dans les maternelles, dans les crèches ou dans les structures d’accueil, DynamJeunes a fait un point sur les différents métiers de la petite enfance qui recrutent en ce moment. Le top 5 des vocations possibles pour les passionnés des jeunes enfants !

 

1 – Agent de crèche

 

Le premier poste pour lequel il manque des candidats en France est agent de crèche.

L’agent de crèche est aussi appelé auxiliaire, et s’occupe des enfants de 0 à 3 ans. Son rôle n’est pas celui d’un simple baby-sitter : il passe ses journées aux côtés des enfants, et participe donc activement à leur éducation. L’agent de crèche doit apprendre la propreté aux enfants, la politesse et le comportement à adopter en société. Il doit également être créatif afin d’encourager l’éveil des plus petits, à l’aide de jeux collectifs et en autonomie.

Il joue un rôle important, car il fait partie des figures d’autorité que l’enfant côtoie tous les jours. C’est aussi lui qui permet la création d’un lien avec les autres enfants. Un auxiliaire de crèche doit donc s’armer de patience et faire preuve de beaucoup de pédagogie : s’occuper d’un enfant n’est pas facile, s’occuper de 10 enfants, encore moins !

Les crèches ont au minimum deux agents de crèche par jour, afin de pouvoir accorder toute l’attention qu’ils méritent aux enfants.

 

2 – ATSEM

 

L’ATSEM est un Agent Territorial Spécialisé des Écoles Maternelles. Il a été formé pour s’occuper des enfants en maternelle, qui ont entre 2 et 6 ans. L’ATSEM a comme rôle de seconder le maître ou la maîtresse. Il participe aux jeux ludiques, aux ateliers manuels et aux apprentissages plus “intellectuels” proposés à la maternelle. Tout comme l’agent de crèche, il joue un véritable rôle d’accompagnant, auprès des enfants mais également de l’enseignant.

C’est une aide nécessaire pour la tenue de la classe et pour l’organisation d’activités pour tous les âges. Il encourage les enfants dans leur autonomie, et joue un rôle d’éducateur en ce qui concerne l’apprentissage de la vie en société, le rangement et l’hygiène. Tout comme un enseignant en maternelle ou un auxiliaire de crèche, l’ATSEM doit faire preuve de patience et d’endurance. De manière générale, il y a plus d’enfants dans une maternelle que dans une crèche : c’est un métier qui nécessite une attention de tous les instants !

L’avantage de ce poste, c’est que vous pouvez faire preuve d’une grande originalité dans la gestion de vos journées. Vous pouvez être moteur de décision et force de proposition auprès de l’enseignant.

 

3 – Auxiliaire de puériculture

 

L’auxiliaire de puériculture est, de manière générale, un poste plus “médical” que les deux précédents. Ce professionnel exerce dans un milieu hospitalier pour assister les infirmiers et sages-femmes. Mais un auxiliaire peut également travailler dans une crèche. L’auxiliaire de puériculture joue le rôle de médecin des tout-petits. Confort, état de santé et petites blessures : c’est le professionnel en charge des situations médicales légères, qui ne requièrent pas l’attention d’un médecin.

L’auxiliaire de puériculture aide également au développement de l’autonomie des enfants, ainsi que de leurs capacités psychomotrices. C’est un interlocuteur privilégié entre les parents et les enfants, surtout lorsque ces derniers manifestent un retard ou des problèmes d’apprentissage en ce qui concerne la marche ou le langage.

 

4 – Éducateur de jeunes enfants

 

L’EJE ou Éducteur de Jeunes Enfants est un professionnel que l’on trouve dans les crèches, dans les garderies ou dans les cliniques. Le rôle d’éducateur est ici concret : l’EJE participe pleinement au développement de l’enfant de 0 à 6 ans. Connaissances théoriques, imagination, créativité… Dans le quotidien de cet éducateur, les activités pédagogiques sont centrales.

C’est le poste idéal pour les personnes motivées par la progression des enfants. Grâce à des activités ludiques diverses, vous leur apprenez différentes choses et les observez évoluer. C’est une véritable vocation, qui implique de travailler en collaboration avec le reste de l’équipe éducative afin d’aider les enfants à progresser.

 

5 – Les métiers de l’assistance maternelle

 

Enfin, les métiers de l’assistance maternelle font partie de ceux dont on a le plus besoin en ce moment. Il s’agit d’une garderie au domicile de l’assistant maternel. Le professionnel reçoit alors les enfants chez lui, pendant que les parents vont travailler. Il s’en occupe comme dans une crèche, avec des activités ludiques, la lecture de livres, les sorties et promenades…

Les personnes qui travaillent dans l’assistance maternelle doivent également préparer les repas des enfants, et peuvent travailler aux côtés d’une deuxième personne. En général, on compte 4 enfants par assistant maternel au maximum.

Le professionnel doit pouvoir s’organiser seul et agir en figure d’autorité, mais également adopter un rôle d’accompagnant dans l’apprentissage. Il est donc important de créer une ambiance de confiance presque familiale.

 

Comment travailler dans le domaine de la petite enfance ?

 

Ces 5 postes sont des métiers d’avenir de la petite enfance, car ils recrutent beaucoup. La plupart des postes dans la petite enfance sont accessibles avec un niveau BEP-CAP. Vous devrez par exemple passer le CAP AEPE pour être assistant maternel. Pour d’autres postes comme l’auxiliaire de puériculture, il est nécessaire de passer un concours pour obtenir le Diplôme d’État d’Auxiliaire de Puériculture.

Si vous vous intéressez au secteur de la petite enfance, vous pourrez travailler dans le secteur public : communes, centres communaux d’action sociale… Ou bien dans le secteur privé, avec les associations et les crèches.

 

Comment se former au secteur de la petite enfance ?

 

Vous vous intéressez au secteur de la petite enfance pour votre avenir professionnel ? DynamJeunes peut vous aider à trouver la formation petite enfance qui vous convient.

 

Prenez rendez-vous avec votre conseiller de la Mission Locale à Saint-Germain-en-Laye, et mettez en place votre projet professionnel pour travailler dans la petite enfance !

Travailler dans l’animation

Travailler dans l’animation

Travailler dans l’animation : les métiers et les formations qui existentTrouver un emploi n’est jamais une tâche très simple. Surtout lorsqu’il s’agit de trouver un emploi qui vous plaît, dans un domaine qui nécessite des diplômes et des qualifications particulières !

C’est par exemple le cas si vous souhaitez travailler dans l’animation. Responsable d’enfants ou de participants, vous vivez des expériences riches en rencontres mais également en obligations et responsabilités.

Afin de s’assurer que vous êtes apte à animer et guider un groupe dans diverses activités, de nombreux postes requièrent une formation d’animateur.

C’est souvent une condition sine qua non, à laquelle est soumise l’obtention de nombreux emplois dans le secteur de l’animation.

Obtenir le BAFA ou le BPJEPS pour travailler dans la fonction publique territoriale, dans le secteur privé ou dans de multiples structures d’accueil… Il s’agit peut-être d’une étape par laquelle vous devez passer.

Pour vous aider dans l’acquisition de ces formations à l’animation, DynamJeunes répond présent ! Votre Mission Locale vous explique tout sur l’emploi dans le domaine de l’animation.

Comment travailler dans l’animation ?

L’animation est un domaine d’activité qui attire beaucoup de demandeurs d’emploi, de tous les âges. C’est un secteur très attractif, car il est riche en rencontres et en expériences. L’animation possède une utilité concrète dans notre société.

Mais c’est également un secteur d’activité dont découlent de nombreuses responsabilités. Notamment celle de prendre soin d’un groupe, que ce soit des enfants ou des adultes, pour les mener d’activité en activité. C’est devant la particularité et la difficulté des métiers de l’animation, que de nombreux emplois sont soumis à l’obtention de diplômes.

Avec l’un des deux diplômes dont nous allons parler, vous pouvez travailler dans une multitude de secteurs :

  • Le milieu associatif
  • Le domaine du tourisme et de l’hôtellerie-restauration (comme les campings, les centres de vacances, les clubs enfants)
  • Le milieu scolaire
  • Le secteur de la petite enfance
  • Le secteur sanitaire et social comme les centres sociaux et les établissements de santé
  • Les résidences collectives, incluant les foyers pour les jeunes ou les maisons de retraite

BAFA et BPJEPS : découvrez deux diplômes qui vous permettront de travailler dans l’animation. Et deux diplômespour lesquels votre Mission Locale peut vous aider !

Le Brevet d’Aptitude aux Fonctions d’Animateur

Le diplôme le plus connu dans le domaine de l’animation reste toujours le BAFA. C’est un diplôme accessible aux jeunes dès l’âge de 17 ans. Il permet d’exercer une multitude d’emplois dans le secteur de l’animation, et il peut être passé en parallèle d’un autre emploi, ou d’études.

C’est son adaptabilité et son accessibilité qui rendent le BAFA aussi populaire auprès des futurs animateurs.

Qu’est-ce que le BAFA ?

Le BAFA est le Brevet d’Aptitude aux Fonctions d’Animateur. Il est souvent considéré comme le tout premier diplôme qu’un animateur en devenir doit passer. C’est notamment le cas parce qu’il permet d’encadrer de manière non professionnelle et occasionnelle des enfants et des ados.

C’est donc un tout premier pas dans le monde de l’animation. Concrètement, le BAFA est l’étape qui vous permet de savoir si l’animation est réellement votre vocation.

Le BAFA permet notamment de travailler avec des adolescents en accueils collectifs de mineurs, comme les colonies de vacances, les centres de loisirs ou autres. En tant qu’animateur dans ce cadre, vous servez un objectif de divertissement.

Vous emmenez les enfants et les ados dans des activités éducatives et ludiques, en compagnie d’autres animateurs.

L’objectif du BAFA est de vous préparer à assurer la sécurité physique et morale des jeunes, à les emmener d’une activité à une autre tout en participant à l’organisation. Après avoir passé le BAFA, vous serez donc capable d’encadrer et d’animer la vie quotidienne avec des enfants et des ados. Vous pourrez créer des relations et instaurer une bonne communication au sein des équipes, que ce soit avec les jeunes ou avec les autres animateurs.

Vous avez également un rôle d’éducateur, même si ce n’est pas au sens scolaire du terme.

Un travail dans l’animation se fait toujours à plusieurs : le travail d’équipe est une compétence à acquérir !

Combien coûte le BAFA ?

Le BAFA est un diplôme payant. En fonction du cursus que vous souhaitez emprunter, il peut coûter entre 500 € et 1 300 €. Il s’agit d’un investissement qui constitue en réalité un investissement dans votre avenir.

Une fois que vous passez le BAFA, vous êtes considéré comme apte à travailler avec des enfants et des adolescents dans des circonstances encadrées. Ce diplôme vous ouvre de nombreuses portes dans le secteur de l’animation.

Les aides de financement pour passer le BAFA

Toutefois, il s’agit d’une somme que tout le monde n’a pas à disposition. Si tel est votre cas, sachez qu’il existe de nombreuses organisations qui ont vocation à vous donner accès à des aides financières.

La CAF, le Conseil Départemental, le Service Civique… Ces organisations vous aident à remplir un dossier afin de faire une demande d’aide financière. Vous pouvez ainsi vous inscrire pour passer le BAFA.

Il existe également des aides adaptées à votre situation personnelle, pour les personnes en situation de handicap par exemple. Pour toute question, rendez-vous dans votre Mission Locale ! Votre conseiller ou votre conseillère peut vous aider à examiner les options dont vous disposez, et à remplir des documents de demande d’aide financière.

L’aide financière que vous obtenez vous donne accès au cursus complet du BAFA, qui ne peut pas excéder 30 mois.

Vous suivez alors :

  • Une formation générale pendant environ 8 jours
  • Un stage pratique pendant 14 jours
  • Une session d’approfondissement de 6 jours, ou de qualification de 8 jours pour valider les acquis

Une fois ces sessions terminées, vous êtes officiellement titulaire du BAFA.

Le Brevet Professionnel de la Jeunesse, de l’Éducation Populaire et du Sport

Le BPJEPS est un brevet encore différent du BAFA. C’est un diplôme supérieur, au sens où il est accessible aux plus de 18 ans, qui ont déjà obtenu le BAFA ou qui ont eu une expérience d’animateur.

Ce brevet est surtout pensé pour les personnes qui ont validé leur envie de travailler dans l’animation sur le long terme. Il s’agit d’une formation à proprement parler, qui peut durer entre 1 an et 18 mois et qui se déroule dans un organisme agréé par les Directions Régionales de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale.

Étant plus approfondi, spécialisé et professionnalisant que le BAFA, le BPJEPS est également plus cher, puisque l’inscription coûte environ 3 600 €.

Toutefois, il existe là encore des aides financières. Pour obtenir toutes les informations sur ces aides, vous pouvez vous adresser au Conseil Régional dont dépend votre commune. Vous pouvez également prendre rendez-vous avec votre conseiller ou conseillère de la Mission Locale, afin de vous renseigner sur la démarche pour présenter un dossier de demande d’inscription au BPJEPS.

Travaillez dans l’animation avec votre Mission Locale !

L’animation est un secteur d’activité très demandé, qui recrute beaucoup. Mais c’est également un domaine dans lequel vous devez vous occuper d’autres personnes, notamment des plus jeunes.

L’animation vous donne un rôle d’animateur, mais également d’éducateur. Vous avez de nombreuses responsabilités, et c’est pour cette raison qu’il est important d’obtenir des diplômes. Ces derniers attestent de votre aptitude à guider des enfants ou des ados.

Pour vous aider à vous inscrire au BAFA ou au BPJEPS, ou pour obtenir des aides financières de la part de l’État, DynamJeunes répond présent. Nous vous aidons dans la mise en place de votre projet, et trouvons des solutions adaptées à ce que vous recherchez !

Accompagnement, affinement de votre projet professionnel et soutien quotidien : la Mission Locale est présente à toutes les étapes.

 

 

 

Tout savoir sur la formation en alternance

Tout savoir sur la formation en alternance

En France, plus de 500 000 apprentis sont formés chaque année à des métiers manuels et concrets.

Et d’ailleurs, vous avez peut-être déjà entendu parler de ce type d’apprentissage ? L’alternance apporte ce que de nombreux autres cursus ne parviennent pas à amener : une partie de théorie, et une partie de pratique.

Et pour de nombreux métiers qui reposent beaucoup sur la technique et l’artisanat, c’est une véritable aubaine ! Surtout pour les jeunes qui ne se plaisent pas dans un cursus scolaire traditionnel, ou pour les moins jeunes qui souhaitent se réorienter.

C’est là toute la beauté du contrat d’alternance : il s’adresse à tous les futurs travailleurs qui s’intéressent à un métier concerné.

Mais qui dit contrat, dit forcément conditions d’éligibilité. Et parfois constitution d’un dossier, pour trouver un employeur et un organisme de formation.

Si vous vous intéressez à la question de la formation en alternance, vous êtes au bon endroit. La Mission Locale DynamJeunes vous explique tout sur le sujet !

La formation en alternance dans toutes ses subtilités

Mais concrètement, qu’est-ce que l’alternance a de plus qu’un cursus scolaire normal ?

L’alternance a l’avantage de mêler théorie et pratique, ce qui permet de se former efficacement à un métier, directement sur le terrain.

Bien plus professionnalisantes que le cursus scolaire traditionnel, l’alternance permet aux travailleurs de créer un projet professionnel concret. Tout simplement parce que l’alternant possède un diplôme ou une certification qualifiante, doublé d’une expérience de plusieurs mois ou années en entreprise.

Cela permet d’avoir un pied dans le monde du travail, et un autre pied dans la théorie des formations aux métiers. L’alternance concerne un large éventail de métiers, et peut être très intéressante pour les étudiants :

  • Elle permet d’obtenir un diplôme ou une qualification ;
  • De mettre en pratique des enseignements théoriques ;
  • D’être rémunéré pendant la formation, en tant que salarié.

Et donc indirectement d’accéder plus facilement à l’emploi. Qui dit expérience professionnelle concrète, dit travailleur prêt à se lancer dans la vie active !

Mais l’alternance, ce sont aussi de nombreux avantages pour l’employeur. Notamment :

  • Former un futur salarié, l’intégrer dès la formation à la vie dans son entreprise ;
  • Recruter une personne qui répond aux besoins de l’entreprise ;
  • Bénéficier d’aides financières de l’État.

L’alternant est considéré comme un salarié à part entière, avec un temps de travail équivalent.

Toutefois, l’alternance se divise en deux grandes familles, chacune formée par un contrat en particulier : le contrat d’apprentissage et le contrat de professionnalisation.

Le contrat d’apprentissage

Le contrat d’apprentissage est un parcours de formation certifiant, qui permet de décrocher un diplôme reconnu par l’État (comme le Bac, un BTS, une Licence, un Master, un CAP…).

La forme du contrat d’apprentissage

Globalement, ce contrat s’adresse aux jeunes qui ont entre 16 ans et 29 ans révolus (et au-delà de 30 ans dans certaines conditions).

Le contrat d’apprentissage se découpe en deux périodes : une période de formation théorique et une période de pratique. La période d’apprentissage peut aller de 6 mois à 3 ans, en fonction du secteur d’activité et de la situation de l’alternant.

Du point de vue légal, la durée de la formation théorique doit être supérieure à 25 % de la durée totale du contrat d’apprentissage. L’intérêt est de laisser une place importante à la formation théorique, sans la négliger totalement.

Au cours de sa formation, l’alternant est rémunéré en fonction de son âge et de son avancée dans le contrat d’apprentissage. De manière générale, la rémunération de l’apprenti correspond à un pourcentage du SMIC.

Les employeurs concernés

Comme dans tout contrat d’alternance, l’apprenti doit avoir un organisme de formation et un employeur. Il peut chercher un employeur selon les conditions suivantes :

  • Parmi les entreprises relevant du secteur artisanal, commercial, industriel, agricole, associatif ou des professions libérales
  • Parmi les employeurs du secteur public non industriel et commercial

Un contrat d’apprentissage doit être signé par l’alternant, par l’organisme de formation et par l’employeur. Des conditions d’application sont fixées, et doivent être respectées par les trois parties.

Le contrat de professionnalisation

Le contrat de professionnalisation est également un contrat d’alternance. Il poursuit un objectif presque identique : celui d’acquérir une qualification professionnelle reconnue par l’État.

Mais ce contrat diffère du contrat d’apprentissage par sa durée, ainsi que par ses conditions d’application et sa rémunération.

La forme du contrat de professionnalisation

Le contrat de professionnalisation concerne surtout les jeunes de 16 à 25 ans, les demandeurs d’emploi de 26 ans et plus, les bénéficiaires du RSA, de l’ASS, de l’AAH ou d’un contrat unique d’insertion.

Ce contrat d’alternance est donc beaucoup plus large, puisqu’il peut être choisi dans le cadre d’une réorientation ou d’une difficulté à trouver du travail.

Tout comme le contrat d’apprentissage, le contrat de professionnalisation mêle théorie et pratique. La durée de la formation théorique représente entre 15 et 25 % de la durée totale du contrat. Et elle ne peut pas être inférieure à 150 heures (sauf dans certains secteurs d’activité).

Les employeurs concernés

Le contrat de professionnalisation concerne donc beaucoup plus de demandeurs, mais aussi beaucoup plus d’employeurs. L’alternant dans le cadre d’un contrat de professionnalisation peut ainsi demander à rejoindre tout employeur assujetti au financement de la formation professionnelle continue.

L’alternant est également payé dans le cadre de sa formation théorique, et dans le cadre de sa formation pratique. Là encore, sa rémunération est calculée en fonction de son âge et de son niveau de formation.

Par où commencer pour se former en alternance ?

L’alternance peut prendre plusieurs formes. Tout dépend en réalité de vous, de votre projet professionnel et de votre situation actuelle ! Si vous avez du mal à choisir, voici un petit récapitulatif des contrats d’alternance :

  • Le contrat d’apprentissage permet d’obtenir un diplôme d’État ou un titre à finalité professionnelle. Il concerne les jeunes entre 16 et 29 ans, et nécessite de trouver un employeur dans des secteurs bien précis ;
  • Le contrat de professionnalisation a comme objectif d’acquérir une qualification professionnelle reconnue ou un certificat de qualification professionnelle. Il repose sur le financement de la formation continue, et touche des catégories d’employeurs plus larges.

Vous hésitez encore ? Contacter la Mission locale et  demander un rendez-vous auprès d’un conseiller ? A DynamJeunes, nous vous aidons à mettre votre projet professionnel et de formation sur pied.

De la constitution de votre dossier Cerfa à la recherche d’employeur ou d’un organisme de formation : optez pour un accompagnement personnalisé à toutes les étapes de votre projet !

Le contrat d’engagement jeune : tout savoir sur le CEJ

Le contrat d’engagement jeune : tout savoir sur le CEJ

Le contrat d’engagement jeune : tout savoir sur le CEJ

La France, c’est en moyenne 300 000 emplois non pourvus, tous secteurs confondus. Mais la France, c’est aussi plus de 400 000 jeunes de moins de 25 ans, qui ne trouvent ni travail ni formation.

Dans le cadre du plan “1 jeune, 1 solution” mis en place en juillet 2020, le dispositif du contrat d’engagement jeune (CEJ) a vu le jour. Et comme son nom l’indique, l’objectif du CEJ est d’aider les jeunes à trouver un emploi, une formation ou un parcours d’insertion.

Si vous êtes en quête de la construction de votre avenir professionnel, que vous avez moins de 25 ans et que vous ne savez pas par où commencer, le CEJ peut être fait pour vous !

DynamJeunes vous explique tout.

Le contrat d’engagement jeune : à quoi ça sert ?

Orienter les jeunes vers des métiers d’avenir, les aider à entrer dans la vie professionnelle, leur proposer un accompagnement personnalisé : les enjeux du CEJ sont aussi nombreux que variés. Et ce n’est pas pour rien : le concept de base de ce contrat d’insertion repose sur une personnalisation totale.

L’objectif : aider les jeunes à trouver un emploi, une formation ou un parcours d’insertion. Mais pas n’importe lequel ! Il s’agit de concrétiser un avenir pro qui correspond au profil du bénéficiaire et de ses envies.

Le contrat d’engagement jeune s’adresse notamment aux personnes qui sont au chômage ou hors du radar du marché du travail : pas de formation, pas de diplôme, pas de certification…

En bref : l’idée est de donner un grand coup de pouce aux jeunes qui ne parviennent pas à accéder à unemploi durable.

Qu’est-ce que le CEJ ?

Le contrat d’engagement jeune remplace la Garantie Jeunes, qui était en place jusqu’à présent. Depuis le 1er mars 2022, le CEJ propose aux jeunes un accompagnement individuel et intensif pour les aider à trouver un travail ou une formation.

Cap sur la personnalisation du projet pro !

Il s’agit d’un parcours entièrement individualisé, mis en place par le Gouvernement. Son avantage par rapport à d’autres contrats d’insertion, c’est qu’il est pensé et conçu pour s’adapter aux particularités de chaque profil.

Le CEJ est issu d’une prise de conscience aux multiples facettes :

  • On ne sait pas toujours par où commencer pour chercher un travail
  • On n’a pas toujours les moyens de financer une formation
  • On ne sait pas forcément ce qu’on veut faire de notre vie

Ce sont des réalités qui deviennent aujourd’hui omniprésentes dans l’esprit des jeunes, et de l’État.

Le but du contrat d’engagement jeune, c’est d’aider ses bénéficiaires à mettre un pied dans le monde professionnel, et à cibler leurs envies ainsi que leur avenir pro.

Ça se présente comment ?

Pour y parvenir, les bénéficiaires du contrat d’engagement jeune ont un conseiller assigné à leur dossier. Ce dernier prévoit des rendez-vous afin d’appréhender pleinement la situation, et de déduire les orientations envisagées pour son avenir.

À la suite de ces rencontres, le conseiller va proposer tout un panel d’activités. Des ateliers collectifs avec d’autres jeunes, des stages et immersions en entreprise, des formations qualifiantes, l’accès au service civique

À raison de 15 à 20 heures par semaine, ces activités permettent de mettre en avant les compétences et qualifications du bénéficiaire, et de l’aider à construire un projet professionnel durable.

Grâce au CEJ, vous construisez votre réseau pro, vous échangez vos expériences avec d’autres jeunes bénéficiaires… Concrètement, vous obtenez un aperçu du monde du travail. Et c’est un aperçu guidé et accompagné, selon VOTRE profil !

À qui s’adresse le CEJ ?

Le contrat d’engagement jeune vise les jeunes qui ont entre 16 et 25 ans (29 ans révolus pour ceux qui sont en situation de handicap). Les bénéficiaires ne doivent avoir ni emploi, ni formation pour pouvoir profiter du CEJ.

Le contrat d’engagement jeune, c’est notamment un contrat d’insertion professionnelle qui est pensé pour les personnes qui ont des difficultés matérielles, financières et personnelles.

Si vous n’avez pas de projet pro défini, que vous perdez confiance en vos compétences et que vous n’avez pas les moyens de financer une formation, vous êtes concerné par le CEJ.

À condition, bien sûr, d’être prêt et motivé à vous lancer dans cette aventure ! La réussite de ce programmedépend en grande partie de vous, et de votre bonne volonté.

Où s’adresser pour le CEJ ?

Le CEJ est un contrat accessible par le biais de Pôle Emploi, ou de la Mission Locale la plus proche de chez vous.

Vous pouvez vous rendre dans votre Mission Locale pour demander des renseignements à un conseiller ou une conseillère : c’est très simple, et totalement gratuit !

Vous pourrez alors vérifier que vous êtes éligible au CEJ, et que ce contrat d’insertion vous correspond pleinement. À partir de là, il n’y a qu’un pas pour vous lancer dans l’aventure.

Quels engagements pour le bénéficiaire du CEJ ?

Comme tous les contrats d’insertion, le CEJ est un dispositif d’aide soumis à certaines conditions. Votre entrée dans la vie active dépend de vous, de votre motivation et de votre implication.

Lorsque vous vous engagez dans le CEJ, vous acceptez de suivre les formations, ateliers et stages qui vous sont attribués par votre conseiller. En cas d’impossibilité de vous présenter à l’activité prévue, vous devez apporter un justificatif.

Bon à avoir :

Si vous ne respectez pas vos engagements sans raison valable, votre accès au CEJ sera suspendu.

Quelle est la durée d’un CEJ ?

Le contrat d’engagement jeune peut durer entre 6 et 12 mois. À la fin des 12 mois, votre conseiller de la Mission Locale peut décider de prolonger votre contrat pour une durée de 6 mois supplémentaires.

Bon à savoir :

Si, pendant la durée de votre CEJ, vous vous engagez dans un parcours ou contrat mis en place par d’autres organismes d’insertion ou de formation, votre CEJ est prolongé.

Les contrats concernés sont par exemple les périodes d’engagement volontaires dans le cadre du service national universel, ou les contrats uniques d’insertion.

Quelles sont les aides pour un CEJ ?

Une professionnalisation, une aide dans votre projet professionnel, un accompagnement personnalisé… Le CEJ va encore plus loin, en proposant une allocation financière pouvant aller jusqu’à 500 € par mois.Cette allocation est calculée en fonction de :

  • Votre âge
  • Vos ressources
  • Votre statut (notamment en ce qui concerne votre foyer fiscal)
  • Le respect de vos engagements

Vous pouvez connaître le montant de votre aide CEJ en effectuant une simulation en ligne.

Bon à savoir :

Votre Mission Locale versera votre allocation par l’intermédiaire de l’ASP. Vous disposez de 3 mois à compter du début de votre CEJ pour envoyer toutes les pièces justificatives demandées.

Après un CEJ

Une fois votre CEJ terminé, si vous n’avez pas trouvé d’emploi ou de formation, ce dernier peut être prolongé pour encore 6 mois.

Sinon, il ne vous reste plus qu’à mettre à profit votre tout nouveau réseau professionnel pour entamer la concrétisation de votre projet d’avenir !

Le contrat d’engagement jeune, la solution sur-mesure pour trouver un emploi

Le contrat d’engagement jeune est le dispositif qui remplace aujourd’hui la Garantie Jeunes. Il s’agit d’un contrat d’insertion qui aide les 16 à 25 ans (ou moins de 30 pour les personnes en situation de handicap) à construire leur projet professionnel, et à le concrétiser.

Ateliers, stages, emplois, parcours de formation… C’est un contrat entièrement personnalisé, qui repose sur lacréation d’un projet en cohérence avec vos attentes.

Vous aussi, vous souhaitez profiter d’un accès à l’emploi durable ? Vous avez besoin d’un accompagnement sur-mesure pour mettre un pied dans le monde professionnel ? Rendez-vous à la Mission Locale DynamJeunes ! Nous nous occupons de créer votre contrat d’engagement jeune, afin de vous aider à vous lancer dans la vie active.

Ensemble, créons un projet pro qui vous ressemble.

Réussir son CV et sa lettre de motivation

Réussir son CV et sa lettre de motivation

 

Rédiger un CV et une lettre de motivation n’est pas facile. Trouvez les bons réflexes, grâce à l’accompagnement d’une Mission Locale !

Comment faire un CV et une lettre de motivation ?

Trouver un travail commence avant tout par le chercher. Et chercher un travail, ce n’est pas toujours une tâche très simple ! Il y a quelques étapes à suivre, et parfois certains codes à respecter.

 

Dans tous les cas, votre Mission Locale est là pour vous aider à trouver un emploi adéquat à vos recherches. Parce que votre profil est unique et que vous avez besoin d’une recherche d’emploi adaptée à votre personnalité, nous vous proposons l’aide de nos services d’emploi.

 

Commençons par le commencement : la rédaction du CV et de la lettre de motivation. Ce sont des étapes essentielles, qu’il ne faut surtout pas négliger.

 

DynamJeunes vous en dit plus sur ces incontournables de la recherche d’un emploi !

 

Le CV et la lettre de motivation : la base pour trouver un emploi !

Le CV et la lettre de motivation sont les Saint Graal de la quête d’un travail. Ce sont les éléments que vous allez envoyer à chaque offre d’emploi qui correspond à votre recherche. En toute logique, ce sont donc les éléments qui vont donner envie, ou non, au recruteur de vous rencontrer. Rien que ça !

 

Réussir votre CV et votre lettre de motivation, c’est décrocher un entretien d’embauche. L’entretien d’embauche a l’avantage de la rencontre : vous pouvez faire bonne impression en personne. Pour le CV et la lettre de motivation, c’est un peu différent.

 

Il s’agit en effet de donner envie au recruteur de vous rencontrer. Or, sur papier il est parfois compliqué de faire bonne impression. Disons que la première sélection repose exclusivement sur vos qualifications, et non sur votre aisance à l’oral.

 

Toutefois, il existe certaines astuces pour se différencier des autres candidats, et décrocher un entretien en peu de temps. On vous donne toutes les infos !

 

Faire un CV : 8 conseils concrets pour un CV réussi

Commençons par le CV. Le curriculum vitae, qui signifie tout simplement “carrière de la vie”. C’est un document (souvent sous forme de tableau) qui regroupe toutes vos expériences professionnelles, votre état civil, votre formation… En bref, toute votre vie professionnelle et vos qualifications couchées sur papier.

 

C’est le document le plus officiel de la recherche d’emploi, parce qu’il sert à montrer que vous êtes qualifié pour le poste convoité. Toutefois, il ne suffit pas de lister vos anciennes expériences et de signer. Faire un bon CV, ça se travaille. Et c’est exactement pour ça que nous sommes là !

 

1 – Mettre en valeur vos compétences et vos expériences

Pour faire un bon CV, la première chose à faire est de valoriser vos compétences et vos expériences professionnelles. Vous pouvez commencer par lister tous les endroits où vous avez travaillé, toutes les formations que vous avez suivies.

 

Une fois cette liste établie, il faut faire un tri ! Il est important de mettre en avant uniquement les expériences et qualifications en rapport avec le poste que vous convoitez.

 

Un petit conseil :

Souvent, les recruteurs reçoivent des CV à la pelle. Il est donc important que les éléments soient vraiment mis en avant. Par exemple, par une mise en gras ou un changement de police ou de taille.

 

2 – Miser sur le design de votre CV

Comme on vient de le dire, les responsables de recrutement reçoivent des CV à foison. Leur choix de le garder dans la pile ou non se fait donc en seulement quelques secondes. Ce qui signifie qu’il n’y a pas que le contenu qui compte : il y a aussi l’apparence de votre CV.

 

Prenez le temps de mettre au point un CV au design attrayant, bien fait et surtout aéré. Vous pouvez mettre des couleurs, mais notez que si vous envoyez votre CV par mail, ce dernier sera imprimé en noir et blanc.

 

3 – Faire une page au maximum

Ça fait partie du B.A-BA de la création de CV : une page, pas plus ! Si vous commencez tout juste dans la vie active, remplir votre CV d’expériences inutiles n’est pas conseillé. Il est préférable d’avoir un CV court et efficace qu’un CV long et vide de contenu.

 

4 – Décrire les missions et responsabilités que vous avez assumées

Lorsque vous notez toutes vos expériences professionnelles et qualifications, vous pouvez utiliser deux-trois mots pour décrire les responsabilités et missions que vous avez eues.

 

Par exemple, si vous avez été manager vous pouvez préciser que vous avez géré une équipe, des stocks, la responsabilité d’un magasin… Le fait de décrire les missions permet au recruteur d’avoir une idée concrète de ce que vous avez fait dans le cadre de vos autres expériences professionnelles.

 

5 – Ne pas mentir

Mentir sur votre CV ou en rajouter, c’est loin d’être une bonne idée. Tout simplement parce que tout finit par se savoir ! Tout ce que vous écrivez sur votre CV peut faire l’objet d’une question par le recruteur.

Et si ce dernier se rend compte que vous avez menti sur votre CV, vous pouvez être sûr que votre candidature tombera à l’eau. Le jeu en vaut-il vraiment la chandelle ? La réponse est non.

 

6 – Demander son avis à votre entourage

Les critiques constructives sont toujours utiles ! Si vous avez des proches qui s’y connaissent dans le recrutement et les CV, n’hésitez pas à leur demander des conseils.

 

N’hésitez pas à assister à des ateliers comme les mardis de l’emploi à DynamJeunes ! Nous vous aidons à mettre au point un CV qui vous ressemble et correspond aux bonnes offres d’emploi.

 

7 – Ne pas oublier vos informations de contact

Un élément que l’on oublie parfois dans les CV : les informations de contact ! En effet, même si vous envoyez votre CV accompagné d’une lettre de motivation, il peut arriver que les deux soient dissociés.

 

8 – Prévoir un CV personnalisé pour chaque offre d’emploi

Enfin, le dernier conseil que l’on peut vous donner sur le CV est de créer des CV personnalisés pour chaque offre d’emploi. Alors forcément, comme ce CV correspond à votre profil professionnel, il ne va pas changer du tout au tout.

 

Cependant, les informations intéressantes mises en avant peuvent varier d’un poste à l’autre. Veillez à personnaliser votre CV pour vous différencier des autres candidats !

 

Faire une lettre de motivation

Une fois que votre CV a passé la première sélection, c’est la lettre de motivation qui peut faire toute la différence. La lettre de motivation sert à expliquer pourquoi vous voulez ce poste, et pourquoi vous le méritez. Et tout comme le CV, elle répond à des règles bien précises.

 

La structure d’une lettre de motivation

Tout d’abord, la lettre de motivation doit suivre une structure déterminée. Elle doit contenir :

 

  • Votre nom et vos coordonnées (c’est quand même plus pratique pour vous contacter)
  • Le destinataire, avec son nom et son adresse
  • Les lieu et date d’envoi de la lettre
  • L’objet de la lettre
  • Le corps de la lettre :
    • Une première partie où vous présentez ce que vous connaissez de l’entreprise
    • Une deuxième partie où vous parlez de vos et de vos qualifications
    • Une troisième partie qui détermine pourquoi vous êtes LA personne pour le poste
  • Une formule de politesse avec votre signature manuscrite

 

Que doit expliquer votre lettre de motivation ?

Ce qui est le plus compliqué dans la rédaction de la lettre de motivation, c’est de rédiger le corps du texte. En effet, vous devez choisir les bonnes tournures de phrases pour faire comprendre à votre interlocuteur à quel point vous désirez et méritez le poste en question.

 

Les trois parties du corps du texte doivent s’enchaîner de manière habile, et surtout bien représenter la personne que vous êtes. Flatter l’entreprise sans trop en faire, vanter vos compétences en restant modeste… Tout est une question de juste milieu.

 

Qu’est-ce qui différencie une bonne lettre de motivation d’une mauvaise ?

Votre lettre de motivation doit respecter les codes et la structure, cela va sans dire. Mais elle doit également vous être personnelle : si vous rédigez une lettre de motivation banale, comme les autres et avec des phrases vides de contenu, vous n’allez pas marquer le recruteur.

 

L’objectif de la lettre de motivation est de vous différencier. Et de montrer la personne que vous êtes : prenez donc le temps de faire une lettre de motivation unique.

Faire un CV et une lettre de motivation : demandez de l’aide !

Rédiger un CV et une lettre de motivation n’est pas facile. Il faut se différencier des autres, tout en respectant les codes… Un vrai casse-tête !

 

Pour demander un coup de main, et si vous vous rendiez dans votre Mission Locale DynamJeunes ? Du tri de vos expériences professionnelles à la perfection de votre tournure de phrase, nous vous aidons à faire un CV et une lettre de motivation uniques et efficaces.